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Les journées au Vert et au Blanc sont des moments importants et appréciés qui permettent aux militants, aux permanents et aux employés des divers services de se rencontrer, de se revoir et d’échanger dans un cadre différent de Solidarités Nouvelles.

Journée au Blanc

Cette journée a permis de faire l’évaluation annuelle de l’éducation permanente dans la matinée, à travers les lignes du temps et la mise en commun du travail des deux sous-groupes. Il en est ressorti que les activités sur Liège se sont quelque peu développées et que des actions supplémentaires sur Charleroi seraient appréciées. Il est essentiel de continuer les actions sur le terrain, les ateliers réflexion et d’organiser des sorties culturelles. Les échanges avec les autres associations et réseaux sont une richesse supplémentaire. L’après-midi, le thème de la mobilisation a donné l’occasion de répondre aux questions :

Pourquoi se mobiliser ?

Dans quels types d’activités s’impliquer ?

Quelles pistes sont envisagées ?

Comment s’y prendre pour mobiliser de nouveaux citoyens ?

 

Journée au Vert

Le droit à la ville a été le thème choisi pour cette journée.

Le matin, la projection du film-documentaire « Le droit à la ville » de Maike Mia Höhne (2017) diffusé sur ARTE a été estimé comme un très bon choix car il montre ce qu’il se passe dans d’autres pays : la construction de quartiers financiers sans vie ou de ghettos pour les plus précarisés mais aussi des exemples d’opposition aux gros investisseurs immobiliers et ce même si l’individualisme complique les choses. Le second mini-reportage : « La ville » a été proposé par l’un de nos citoyens-militants : Saïd Dazzaz. Mini documentaire qu’il a lui-même réalisé dans le cadre d’un atelier « Filme ta ville 2017 ». C’est un exemple plus proche de nous et la résonance n’en a été que plus forte.

 

L’après-midi, quelques photos d’anciennes actions pour la Journée Mondiale de l’Habitat (JMH) ont été projetées et expliquées. Des propositions de pistes d’action s’en sont suivies. Le concept du droit à la ville est très compliqué et c’est un travail de tout temps pour chacun pour ne pas se laisser envahir. Les participants nous ont rapporté, lors de l’évaluation de fin de journée, que ce concept était bien plus clair depuis le visionnage de ces reportages. Pour eux, le droit à la ville, c’est le droit à la vie, à ma liberté en tant que citoyen, c’est aussi l’idée d’être en résistance face à ce que l’on veut nous imposer.

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